« amener environ 200 ménages Baka et 360 ménages refugiés bénéficiaires à s’engager à utiliser l’argent reçu de manière responsable ;

– encourager tous ces ménages bénéficiaires à investir dans la santé, l’éducation, l’alimentation, et à entreprendre des activités génératrices de revenus, afin de se prendre en charge à la fin du projet, Tels sont les 2 objectifs visés par la campagne de sensibilisation menée par le projet Filets sociaux dans la Région de l’Est Cameroun en direction des Réfugiés centrafricains et des autochtones Baka, du 19 au 25 février et du 22 au 26 mars 2022. Pour atteindre ces objectifs, 7 approches ont été utilisées: la mobilisation sociale, le plaidoyer auprès des leaders communautaires, le renforcement des capacités des leaders communautaires et associations locales, les causeries éducatives avec les ménages bénéficiaires et non bénéfi-ciaires, les discussions de groupe avec les chefs de ménages et les autorités traditionnelles et religieuses, et enfin les visites à domicile au sein des ménages bénéficiaires. 3 outils principaux ont été mis à contribution tout au long de la campagne : les affiches, les contrats moraux et les cartes de bénéficiaires pour faire passer 2 messages-clés à savoir :

– « Utilisez toujours l’argent reçu dans la santé, l’éducation et l’alimentation des membres de

– « Gardez toujours un peu d’argent reçu pour in-vestir dans une activité (agriculture, commerce, etc.) rentable ».
Résultats des courses :
– 322 ménages bénéficiaires sensibilisés
– plusieurs comités villageois et associations impliqués dans des activités de sensibilisation au-delà des dix jours de la campagne
– 7 villages mixtes/campements abritant les mé-nages Baka et 40 villages abritant les ménages des réfugiés centrafricains dans la Commune de Gari- Gombo touchés.
La campagne a été financée par le Gouvernement du Cameroun et deux bailleurs de Fonds : la Banque Mondiale et l’Agence Française de Développement (AFD).

V ivre avec le VIH, cela est possible. C’est l’enjeu de l’action de communication menée par l’Association Camerounaise pour le Marketing Social (ACMS) pour l’amélioration des conditions de vie et de santé des Personnes Vivant avec le VIH (PVVIH) au Cameroun. I=I entendez « Indétectable = Intransmissible », vise à promouvoir le suivi des traitements antirétroviraux afin de permettre aux personnes infectées par le VIH de prétendre aux mêmes droits et opportunités que les personnes séronégatives.
Cette campagne de l’ACMS s’est matérialisée par

un spot vidéo de 60 secondes diffusé sur les 2 mois de mai et juin 2022. Le spot diffusé met en scène Ulrich, acteur séropositif, en consultation chez un médecin. Le but est de démontrer à la population qu’il n’y aucune honte à accepter d’être séropositif et de mener une vie normale. I=I vise à donner une nouvel espoir aux personnes porteuses du virus. D’où le message-clé : les Personnes Vivant avec le VIH qui suivent un traitement antirétroviral et ont une charge virale indétectable ne peuvent pas transmettre le virus à leur partenaire. Une action forte de sa signature « L’Impossible devient Possible ».

D RINKIQ » ? Il s’agit d’un quiz qui aide chaque consommateur à évaluer ses connaissances sur l’alcool. C’est surtout un site internet qui cible les consommateurs d’alcool et s’appuie sur les employés du groupe pour être les ambassadeurs auprès des clients et les encourager à « consommer mieux » plutôt que « consommer plus ». Lors de la dernière édition du Salon Internationale de l’ Entreprise, de la PME et du Partenariat de Yaoundé, Promote 2022, DIAGEO a tenu un stand pour promouvoir cet engagement envers sa cible au Cameroun. Des visiteurs et se sont prêtés au jeu. Chacun fournissait des informations pratiques à propos des effets de l’alcool sur la santé du corps et la santé mentale. Avec à la clé une

auto-évaluation sur la tolérance individuelle à l’alcool.
Pour les employés du groupe, des sessions de formation sont dispensées pour aider les clients à s’éveiller à la responsabilité individuelle face à la consommation abusive d’alcool et ainsi qu’à des comportements collectifs responsables tels que éviter de conduire sous l’emprise de l’alcool. La participation au quizz donnait droit pour chaque participant, à un lot selon le score réalisé. En plus des gadgets publicitaires, les visiteurs ont surtout reçu un complément d’informations sur les bonnes pratiques et attitudes convenables à adopter en matière de consommation d’alcool. Environ 500 visiteurs se sont prêtés au jeu, à la satisfaction de l’organisateur de la campagne

Lutte contre le paludisme

BREAKTROUGH ACTION FAIT SA CAMPAGNE

L a campagne de communication contre le palu-disme de Breaktrough Action (BA) couvre les districts de santé de Guider, Kaélé et Mokolo, dans les Régions du Nord et de l’extrême-nord. Elle aborde plusieurs thématiques, telles que : « l’utilisation de la Moustiquaire Imprégnée à Longue Durée d’Action (MILDA) » ; « la prise en charge en cas de paludisme » ; « le traitement Préventif Intermittent du paludisme pendant la grossesse » ; l’hygiène de l’environnement et la campagne de chimioprévention du paludisme saisonnier ». Les différents messages sont portés par des supports destinés aux agents de santé communautaires (ASC), aux prestataires de soins et à la femme enceinte particulièrement exposées au paludisme.
La campagne de Breaktrough Action est le résultat d’études comportementales en matière de paludisme au Cameroun réalisées auprès d’un échantillon de ménages. Selon les résultats de cette étude, de nombreux déterminants com-portementaux entravent l’utilisation optimale des services de lutte contre le paludisme par les ménages et les commu-nautés, notamment le manque d’information.
Breaktrough Action qui œuvre dans plusieurs pays en Afrique, va documenter, en collaboration avec le Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP), les processus par lesquels les déterminants comportementaux favorables à la lutte contre le paludisme peuvent éclore et s’étendre au moyen des approches centrées sur l’Humain (HCD). In-ter’Activ Consulting, agence spécialisée en communication pour le développement est en appui à Breaktrough Action dans cette campagne pour la conception des supports de communication qui visent à accroître l’engagement commu-nautaire comme barrière au paludisme au Cameroun.

T rès discrète tout au long de sa car-rière professionnelle, Dr Martina Lukong Baye, plus connu sous l’appelation de « Dr Baye », est décédée dans l’extrême discrétion le samedi 16 juillet 2022 à Yaoundé. Pourtant, deux se-maines avant, rien ne présageait cette disparition brusque, tant « Dr Baye » s’activait sans pré-senter aucun signe de maladie, ni de faiblesse, à la coordination des activités du Programme na-tional multisectoriel de lutte contre la mortalité maternelle, néonatale et infantile (PLMI). Femme à plusieurs compétences, la diplômée du Centre Universitaire des Sciences de la Santé (CUSS) a dirigé de main de maître le Programme National de Lutte contre la Mortalité Maternelle Néonatale et Infanto Juvénile (PLMI). Avant cette responsabilité, elle a été à la tête de la Division de la coopération (Dcoop), la Direction de la Santé Familiale (DSF) et a terminé Conseiller Technique N°2 (CT2) au ministère de la Santé Publique (MINSANTE). En partant de cette haute fonction pour le PLMI en 2014, la native de la

Région du Sud-Ouest avait misé sur la communi­cation d’abord. « Elle a compris très tôt que la communication et la mobilisation sociale étaient la clef pour renverser la tendance », rappelle Raoul Nkondock du service de la communication du PNLP. Pour elle, les radios communautaires étaient indispensables pour réduire la mortalité maternelle, néonatale et infanto- juvénile.

C’est grâce à la mise en œuvre du PLMI sous sa houlette que le Cameroun a pu enfin réduire la mortalité maternelle de plus de 40% partant de 767 décès pour 100000 naissances vivantes en 2011, à 406 en 2018 après plusieurs décennies ou cet indicateur ne faisait que s’accroitre. En ef­fet. La réduction de la mortalité maternelle au Cameroun de 762 à 406 pour 10000 morts est essentiellement son œuvre. Elle a également œuvré pour la lutte contre les fistules obsté­tricales qui sont une morbidité maternelle. Des avis de tous ses collaborateurs durant son par­cours, Dr Baye alliait compétences académiques et qualités humaines et morales. De bons souve­nirs que laisse l’ amazone de la santé.

Une séquence karaoké improvisée a mis le feu aux poudres, au rythme de quelques classiques de la « old school » et de la « new generation » savamment repris par chaque membre de l’équipe. Last but not the least, la coupure du gâteau des 12 ans, qui est venu de manière symbolique, sceller l’apothéose d’une célébration qui s’est voulue délibérément interne, en attendant de l’ouvrir au clients et partenaires à l’occasion des 15 ans vivement attendus de INTER’ACTIV CONSULTING.

c’est dans le cadre très écolo de « Eco Park » à Yaoundé, que la team de Inter’Activ Consulting, a célébré le mardi 3 mai 2022, le 12ème anniversaire de l’agence spécialisée en communication pour le développement (C4D), créée en avril 2010. Des festivités de la 136ème édition de la fête du travail ont servi de prétexte pour célébrer cet heureux événement. Au menu : des jeux vidéo, des jeux de société, des challenges sportifs individuels et de groupe, des discours de circonstance pour remercier l’engagement du personnel d’un côté, et du top management de l’autre, consolider les liens entre anciens et nouveaux personnels et remobiliser les troupes pour au moins… les 12 prochaines années.

Je suis un follower, pas exactement comme dans le cas de cette majorité précoce qui attend, avant de s’engager, les retours des premières expériences initiées par des précurseurs. Je suis plutôt un follower arrivé dans une entreprise qui avait besoin de remplir certaines cases vides pour s’adapter au développement de ses activités et améliorer la qualité de son offre de service. Nous sommes en 2014, Inter’Activ Consulting vient de décrocher son premier contrat à 100 millions de FCFA. L’agence doit aussi élargir son implantation dans les villes de Douala et Ngaoundéré à travers l’animation d’un centre d’assistance aux usagers pour le compte d’un client. Tous les feux sont donc au vert et la tendance managériale des dirigeants est centrée sur l’humain. L’honneur m’est fait de coordonner la dynamique équipe des 7 personnels dédiés exclusivement à l’animation de ce centre d’Assistance.
Comment dans un tel contexte, ne pas me laisser embarquer ! Comment dans ce cette situation ne pas me sentir comme une recrue idéale, une personne choisie et de qui le top management attend beaucoup ! D’où mon inclinaison à toujours m’investir au-delà de mes possibilités, avec des résultats souvent satisfaisants et quelquefois en dessous des attentes, quelques moments de frustration aussi, que j’essayais de compenser à travers mes certitudes, la chaleur de mes collègues ou la sécurité des consignes très claires de ma hiérarchie.
Je suis ce follower qui chemine toujours avec les autres membres de la team IAC dans les hauts et les bas de l’agence, partageant les rêves et les incertitudes, du top management. Se rappelant aux bons de souvenir de ceux qui ont quitté le navire et heureux d’accueillir ceux qui intégrent le groupe. Dans ma catégorie de personnel de l’agence, quelques collègues qui se reconnaissent dans mon témoignage. Chacun arrivé à son tour, mais toujours avec la même veine, le même parcours et le même sentiment mitigé : Armand qui affectionne toujours sa fonction de « planner stratégique », Lucie MBESSE ADZOA, notre technicienne de surface qui ne demandait jamais son reste, y compris après son récent départ de l’entreprise.

Thierry NOMO

C’est le quinté gagnant de Inter’Activ Consulting (IAC), beaucoup trop dévoué à la tâche : Rosette MANDA, Assistante créa qui est la seule employée de la boîte à se faire appeler par son nom de famille « Manda », à sa demande persistante et insistante; Roland TOFFON, Assistant comptable, qui a de plus en plus la main sur la gestion administrative et financière de l’agence; Émile EVODO, Responsable communication ins-titutionnelle, le prototype de l’employé multitâches ; Cyrille MBALLA, l’homme aux lunettes noires, peu disert, et bien dans sa fonction de chauffeur.
Jouissant des expériences professionnelles plus ou moins ap-profondies dans leurs domaines respectifs, ils ont tout de suite démontré leur motivation à tenir et conduire la pagaie pour faire voguer le bateau IAC vers des eaux calmes. Les projets et activités qui s’enchaînent, les journées de travail interminables au bureau, les commandes des clients dont la livraison est toujours pour « hier », n’ont pas suffi à atténuer leur enthousiasme et leur motivation. On dirait qu’ils veulent compenser le fait d’être arrivés trop tard dans un monde très vieux. Et c’est tant mieux pour le nouveau souffle qu’ils apportent à l’entreprise.
Leur expertise juvénile, macérée à la modernité, a su séduire le top management et l’ensemble de la team IAC. Dynamiques, créatifs, ingénieux, réactifs, sont des qualificatifs qui peuvent leur être collés sans contestation. Chacun revendiquant être un maillon incontournable de la chaîne de production du service. Chacun se distinguant par son côté artistique individuel qui macule de jour en jour la qualité de la copie rendue au client par l’agence.
Nathalie LABATUT, la transfuge de VOODOO et nouvellement arrivée, doit encore faire ses preuves pour inscrire son nom dans ce registre des « Innovators ». À juger par ses premiers pas, elle semble n’en être plus très éloignée.

Louis Blaise ONGOLO

R esté longtemps l’apanage de l’État et de ses démembrements ou de l’ar-mée, le drapeau national a toujours été utilisé pour affirmer la détention du pouvoir par ces instances. Depuis quelques temps, la bannière Vert Rouge Jaune fait l’objet d’une appropriation par l’ensemble des acteurs nationaux notamment les entreprises et autres organisations.
Pour la célébration du 50ème anniversaire de l’état unitaire le 20 mai 2022, les plateformes digitales ont été investies par les annonceurs qui ont tenu à exprimer leur patriotisme à travers des

messages porteurs des idéaux de paix et d’unité chers à la nation camerounaise.
L’univers graphique a constitué la forme d’expres-sion choisie par ces annonceurs pour marquer leur attachement et appartenance au pays. Au premier rang des éléments graphiques utilisés dans les annonces, figure le drapeau national. Que ce soit sous la forme classique d’un étendard ou à travers des formes plus stylisées, les couleurs nationales ont été mises à l’épreuve du génie créatif des annonceurs pour des résultats plus ou moins attractifs.

Quel que soit le résultat, l’emblème national et sa charge symbolique ont constitué l’axe de la création des messages dans le contexte de célé-bration de l’unité nationale. Et ce choix graphique en disent long sur les objectifs visés par les annonceurs. En effet, le Vert-Rouge-Jaune représente les principales aires géographiques du pays et la lutte pour la souveraineté nationale. C’est le trait d’ union entre tous les camerounais de l’Ex-trême-nord au Sud.
Le Vert renvoie à la forêt luxuriante du Sud, signe de vitalité et de prospérité, le Rouge quant à lui renvoie au sang versé par les martyrs de l’indépendance, c’est la zone des hauts plateaux de l’Ouest, qui également, est le trait d’union entre le sud forestier et la savane du grand-nord matérialisé par la couleur jaune, signe d’un pays toujours ensoleillé, riche et glorieux. L’étoile pour sa part traduit le caractère unitaire d’un État dont on dit qu’il est « un et indivisible ».
Les annonceurs se sont donc appropriés les valeurs symboliques et épistémiques du drapeau national pour élaborer dans une esthétique singulière, des prises de paroles citoyennes et renforcer le rapprochement avec leurs cibles. Et la fête de l’unité célébrée chaque 20 mai n’en constitue qu’un prétexte. C’est certainement la raison pour laquelle ils ont convergé pour la plus part, vers les plateformes digitales du Président de la République, du Cabinet Civil de la Présidence ou de la Cellule de Communication de la Présidence de la République.
Adopté en 1975 après la déclaration de l’état unitaire, le Vert, Rouge et Jaune, frappé de son étoile d’or à cinq branches au milieu de la bande rouge, comme un soleil, s’est affiché fièrement sur la quasi-totalité des annonces en lien avec les festivités du 20 mai. Les différentes exploitations du

drapeau national par les messages qu’on a pu voir, démontrent clairement que la création graphique s’est faite en dehors d’un cadre normatif qui encadre l’utilisation de l’emblème national, même dans le cas de la production des messages des instances dites « officielles ». Chacun y allé de son inspiration pour s’afficher dans ses plus beaux atours.
Cette liberté du point de vue créatif se justifie. Le drapeau national n’est pas la propriété d’un nombre restreint d’acteurs de la république, initiés au céré-monial des honneurs militaires ou de l’autorité pu-blique. Le drapeau camerounais appartient à tous les camerounais animés d’un esprit patriotique. Ils ne leur reste donc qu’à se l’approprier pour exprimer et pérenniser l’unité nationale.

Travail collaboratif avec

Google Sheets

Google Sheets est une application membre de la famille Google. Il est à Google ce qu’Excel est à Microsoft office. Il permet de concevoir des feuilles de calcul, de les mettre en forme, de les partager avec d’autres utilisateurs et des stocker à partir de Google Drive. Sa particularité est qu’il est exclusivement accessible via internet et peut être démarré sur les systèmes d’exploitation Androïd, IOS, macOS, Microsoft Windows, BlackBerry OS, Chrome OS. L’ensemble des informations traitées sur la plateforme reste stockée dans Google Drive et peuvent ainsi être consultées à partir de n’importe quel appareil dès lors que l’adresse mail est enregistrée.

L’accès à Google Sheets

Rien de plus simple, tape dans la barre de recherche de votre navigateur www.google. com/sheets et automatiquement vous aurez accès à la page d’accueil de la plateforme. Ensuite, vous aurez juste à cliquer sur l’onglet « accéder à Google Sheets ». Une fois sur le logiciel Google Sheets clique sur « nouveau » et ça y est une nouvelle feuille de calcul s’ouvre.

Le travail collaboratif

Une fois la feuille de calcul remplie et les informations renseignées, il est possible de donner des accès à d’autres personnes en cliquant sur la touche « partager », et de définir leurs rôles (éditeur, commentateur, lecteur). Les personnes avec le rôle « éditeur » ont la possibilité de modifier les informations et les mettre à jour. Il est également possible d’établir des échanges par chat ou par appel vidéo entre les participants pour un travail collaboratif sur la plateforme.

Conception sur Google Sheets

Il est possible de choisir un modèle préconçu de feuille de calcul en cliquant sur la flèche déroulante avec la mention « galerie de modèles ». Tout de suite après, des modèles de feuille de calcul regroupés en (04) quatre rubriques (personnel, professionnel, gestion de projets, enseignement). Une fois le choix fait, la plateforme dirige vers une page qui permet de modifier et de renseigner vos informations. Le travail peut commencer !

Cas pratique : concevoir un plan d’action avec Google Sheets

Concevons un plan d’action pour un évènement fictif sur la protection de la nature.
Après avoir cliqué sur la feuille de calcul « vide », la plateforme dirige vers une interface vierge. A présent les informations de notre l’évènement peuvent être renseigné.
Une fois notre feuille de calcul remplie, nous pouvons faire des mises en forme (création d’un tableau, modifier la couleur des cellules/lignes, l’alignement, la police, etc.) adaptées à la charte de notre choix ou à la charte graphique d’une entreprise par exemple.